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Circuit Costa Rica : Sept choses à faire absolument

Circuit Costa Rica : Sept choses à faire absolument

Circuit Costa Rica : Sept choses à faire absolument. Grand comme un dixième de la France, avec un paysage très varié et des cultures régionales encore peu connues, plusieurs voyages sont nécessaires pour bien explorer toutes les richesses culturelles et naturelles du Costa Rica. Pour un premier voyage, en moins de 15 jours, un circuit Est-Ouest (San José – Tortuguero - Arenal – Péninsule de Nicoya) est recommandé. Voici la liste des lieux les plus emblématiques du Costa Rica.

Circuit Costa Rica : Sept choses à faire absolument

  1. San José, seconde capitale

Propulsée capitale après un tremblement de terre qui ravagea Cartago au début du XXème siècle, San José, qui fut longtemps une localité dédiée au café, est un centre vital des l’économie, des arts et des études. Capitale à taille humaine, il est agréable de s’y balader à pied et se mêler aux Ticos (surnom local des costaricains) dans les lieux de culture du quotidien tel le Museo del Oro Precolombino, abritant une exceptionnelle collection d’objets précolombiens en or et le Museo de Jade qui recèle la plus importante exposition au monde de sculptures de jade américaines. Le Museo Nacional exposant les trouvailles archéologiques du pays, des meubles coloniaux et des objets d’arts sacrés ou encore le très révéré Teatro Nacional, le plus beau bâtiment, date de 1890. Le mercado central, très animé, offre toutes sortes de produits, du café à l’artisanat en passant par les échoppes où l’on peut se restaurer à peu de frais. Passage obligé d’un circuit classique au Costa Rica, San José mérite au moins un jour plein de visite. On peut d’ailleurs commencer son voyage au Costa Rica par San José et finir par l’une des stations balnéaires de la côte Pacifique ou Caraïbes selon votre préférence.

  1. Le volcan Arenal, volcan majeur

Niché au cœur du parc national Volcan Arenal, culminant à (1 633 m), le volcan dresse son cône parfait. Particulièrement actif depuis 1968, quand de violentes éruptions furent suivies de coulées de lave qui firent plusieurs dizaines de victimes, son humeur varie d’une semaine à l’autre. Tantôt émettant des jets de lave et de roches incandescentes, tantôt plus calme se contentant de luire placidement dans l’obscurité. Bien que son activité a fortement diminué depuis 2011, on continue de voir des fumerolles s’échapper du cratère principal de temps en temps mais plus du tout de lave en fusion, son ascension en reste néanmoins interdite. Les possibilités d’activités du parc, au départ de la ville de La Fortuna sont riches et variées : eaux thermales, balade sur les ponts suspendus, kayak sur le lac Arenal, grottes de Venado, balade guidée dans le parc national Arenal, canopy (tyroliennes au-dessus de la canopée), balade à cheval, balade guidée en VTT (débutant et/ou intermédiaire), balade nocturne guidée, tour de bateau dans le refuge de vie sylvestre Caño Negro (de jour ou de nuit). Nous suggérons à nos voyageurs de rester plutôt deux à trois nuits afin de bien profiter du parc, on ne revient pas de si tôt pour un autre séjour au Costa Rica.

  1. Parc National Manuel Antonio, le plus petit parc du pays

Faisant souvent partie d’un premier voyage au Costa Rica, bien qu’il soit le plus petit parc national du pays, le parc Manuel Antonio est également le plus populaire du Costa Rica et donc un passage quasi-obligatoire. En 1972, il devient zone protégée afin de l’empêcher d’être rasé dans le cadre d’un projet de développement de la côte. Situé en bordure de mer, il mêle savamment singes espiègles, eaux cristallines, oiseaux tropicaux. Véritable petit paradis, le parc est jalonnée de sentiers balisés serpentant à travers forêts et promontoires rocheux, permettant de rejoindre des plages de savles blancs dans des baies à la végétation luxuriante où il n’est pas rare de croiser iguanes, paresseux, singes et même ratons-laveurs… Station balnéaire huppée, Manuel Antonio offre de belles prestations hôtelières pour ceux qui voudraient dormir à proximité du parc pour profiter d’une visite matinale quand le parc est encore assez calme. Il est également possible de visiter le parc sur une étape en direction de votre destination de séjour balnéaire ou au retour de celle-ci, avant de continuer vers San José.

  1. Monteverde, la forêt tropicale nuageuse

Difficilement accessible, la forêt tropicale nuageuse entourant la Réserve de Monteverde est un endroit préservé du grand tourisme (limitée à 100 visiteurs) et les habitants de la région cherchent à conserver la route y menant dans son état actuel afin de préserver la forêt de la déforestation, et par-dessus tout, leur mode de vie. Aussi, nous recommandons fortement les services d’un guide. Les chanceux pourront y apercevoir toutes sortes d’animaux, d’étranges grenouilles ou encore le mythique quetzal, emblème de la région, qui ne supporte pas la captivité. Cet oiseau nidifie dans les plus hauts et plus vieux arbres des forêts tropicales d’altitude.

  1. San Gerardo de Dota, village hors du temps

« La Suisse d’Amérique Centrale », surnom donné au Costa Rica ne peut mieux porter son nom qu’à San Gerardo de Dota tant ce lieu ne ressemble à aucun autre endroit dans le pays. On y passe souvent en rentrant de la côte pacifique pour finir son voyage au Costa Rica avant de prendre l’avion à San José. Un village de montagne bucolique traversé par une rivière claire et vive, entouré de collines boisées qui ressemblent plus aux Alpes qu’aux Tropiques. Niché au fond d’une vallée de montagne, l’air y est frais et vif, froid la nuit, et le bassin du Savegre, orné de vergers, abrite de nombreuses espèces d’oiseaux d’haute altitude qui attirent les ornithologues du monde entier. Ce lieu du pays offre un moment où le temps n’a plus court, où il fait bon se déconnecter (encore plus) du monde et qui offre des souvenirs impérissables. Les voyageurs au Costa Rica adorent cette ville de manière unanime pour son implantation au cœur de la vallée et son ambiance unique. Ne manquez pas d’y faire une randonnée matinale pour l’observation du Quetzal.

  1. Symbiose de la côte Pacifique

Du Guanacaste à la région du Pacifique en passant par la Péninsule de Nicoya et le Pacifique Centre, plages et parcs nationaux s’égrènent offrant à chacun la chance de trouver son bonheur. Que l’on soit à la recherche de stations balnéaires offrant de belles prestations hôtelières ou des plages plus sauvages et authentique, que l’on souhaite pratiquer le kayak de mer, les balades à cheval le long de la plage, le snorkeling, le surf ou observer la ponte des tortues, s’aventurer dans les terres pour découvrir des parc ou réserves hors des sentiers battus, observer des oiseaux rares tel le Ara Macaw (ara rouge) ou encore les crocodiles dans les rivières, la côte Pacifique saura vous séduire.

Il arrive souvent qu’on finit son voyage au Costa Rica par la péninsule de Nicoya, mais certains voyageurs à la recherche d’inédit préfèrent finir leur voyage plus au sud, notamment en fonction des possibilités d’activités, pour la recherche d’authenticité ou par préférences personnelles. Les experts spécialistes du Costa Rica chez NostaLatina sauront optimiser le circuit afin que votre voyage dans ce pays d’Amérique Centrale soit un succès.  

  1. La douceur de vivre de la côte caribéenne

Bien qu’elle ne fait pas souvent partie d’un premier voyage au Costa Rica par manque de temps, la côte Caraïbes a cette particularité d’avoir su conserver sa culture locale, mélange des influences autochtones à celle des migrants venus des Caraïbes, bien différente de celle du reste du pays. L’authenticité est de mise sur cette partie du pays où les conditions de vie et les infrastructures plus rustiques offrent une immersion inégalée dans cette ambiance nonchalante si emblématique de cette région du globe, en particulier sur la partie sud de la côte Caraïbes, là où réside l’âme de la communauté afro-caribéenne du Costa Rica. Cahuita nous en offre un bel exemple: elle a réussi à garder son ambiance décontractée des Caraïbes. Routes pavées, vieilles maisons sur pilotis, voisins bavards parlant toujours le Mekatelyu, dialecte local… Une gracieuse plage de sable noir et une atmosphère détendue évoquent un passé pas si lointain, quand la région n’était encore qu’une suite de fermes de cacao. Cahuita revendique avec fierté le premier colonisateur afro-caribéen permanent de la région: un pêcheur de tortue nommé William Smith, qui s’installa avec sa famille en 1828 à Punta Cahuita. Ce sont ses descendants, parmi tant d’autres immigrés des Indes occidentales, qui aujourd’hui, gèrent les petits restaurants et les bungalows haut en couleurs qui étreignent cette côte idyllique. Agréablement située, la ville a un front de mer, mais pas de plage. Pour cela, la plupart des gens font le court trajet de cinq minutes pour aller à Playa Negra ou au sud-est dans le Parque Nacional Cahuita.

En dehors des visites des parcs nationaux, près d’une trentaine, qui sont les sites les plus visités pour un voyage classique au Costa Rica, il est également possible de découvrir des communautés rurales ou indigènes, telles celles des Yorkín ou des BriBri.

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